Un nouveau cycle de formation dédié aux enjeux du numérique
Un parcours pour devenir acteur de la transition numérique judiciaire
Le numérique, et les possibilités et usages qu’il offre, affectent la structure de l’environnement judiciaire, la relation aux justiciables, nos organisations et processus métiers. L’École nationale de la magistrature postule que les professionnels judiciaires sont les plus à même d’exprimer les besoins-métiers et détiennent ainsi les clefs indispensables à la réussite des projets numériques. Le CaNUM vous offre la possibilité de libérer le potentiel de la transformation numérique, au service de la redéfinition de nos missions et des valeurs de la Justice. Il permettra notamment aux participants de disposer d’un socle de connaissance relatif aux enjeux du numérique dans la sphère publique, de bénéficier d’une connaissance pratique des dispositifs existants et ainsi s’en faire le relais, d’explorer les potentialités offertes par les avancées technologiques, ou encore de disposer de clés pour piloter un projet de transformation.
5 modules de formation répartis sur une année
La formation se déroule en 5 séquences de janvier à décembre 2024 pour une durée totale de 13 jours : « Fondamentaux - Écosystème et culture numérique » ; « Expertise dans la conduite d’un projet de haut niveau et du management à l’ère du numérique » ; « Enjeux exploratoires du numérique » ; « Comparaison avec un système étranger » et un module de conclusion.
Le parcours se déroule principalement à Paris, avec un déplacement à l’étranger et plusieurs stages en entreprises, institutions ou directions de ministères, qui seront organisés pour renforcer le caractère opérationnel du cursus.
Comment proposer sa candidature ?
La candidature se fait par e-mail en suivant les modalités suivantes :
- Objet du mail « candidature CANUM » ;
- Destinataires : ofl.fc.enm@justice.fr et haffide.boulakras@justice.fr ;
- Pièces jointes : lettre de motivation + CV + accord des supérieurs hiérarchiques (chefs de cour pour les magistrats, chef de service pour les greffiers, directeurs des services de greffe et contractuels, directeurs d’administration centrale pour les magistrats d’administration centrale, directeurs des services de greffe, greffiers et contractuels en administration centrale)